« Avec cColbert le Comité Colbert remplit son rôle prospectif en investissant plus largement le marché chinois, qui demeure le premier relais de croissance pour nos maisons, même les plus petites, et en repoussant les limites d’internet pour devenir prescripteur de nouvelles pratiques comme le luxe français l’a toujours fait. », Elisabeth Ponsolle des Portes, Déléguée Générale du Comité Colbert.

Ce matin, c’était Pékin-Paris. Ca tombait bien, suis passionnée de Chine et suppoter du luxe français, dont l’excellence permet le maintient de corps de métiers rares. Donc l’événement que je ne pouvais pas rater – que j’ai raté (il y a des jours comme ça) – se tenait ce matin, 17h00 à Pékin soit 10h00 à Paris, à l’ambassade de Chine, pour le lancement de cColbert : « Une expérience virtuelle inédite développée pour les internautes chinois. Voyage interactif en trois dimensions au  sein du luxe français», en présence de Son Excellence monsieur Kong Quan, Ambassadeur de Chine en France, de monsieur Wang Yan, Président fondateur de Sina  et madame Du Hong, Directrice Générale de Sina, de Françoise Montenay, Présidente du Comité Colbert et des Présidents des maisons membres du Comité Colbert.

Très bien, mais en quoi consiste le Comité Colbert? « Faire rayonner en France et à l’étranger la culture française représentée par les maisons et animer une réflexion prospective sur le secteur du luxe » dixit Jean-Jacques Guerlain, fondateur du Comité Colbert en 1954. Aujourd’hui le Comité Colbert regroupe 70 maisons de luxe français, sur les 200 maisons de luxe dans le monde. Le luxe français, présent dans 69 villes de Chine avec plus de 1600 points de vente (hors vins et spiritueux), cible le marché chinois : « en particulier le public de jeunes chinois amateur de belles choses et de nouveautés et sensible à la diversité du luxe français». Entre 2009 et 2010, 45 nouvelles boutiques en nom propre seront ouvertes dans 15 villes différentes. Je vous recommande ce très bon article dans Fashionmag.com, sur les jeunes milliardaires chinois de Pékin, moyenne d’âge 20-30 ans, donc c’est sûr qu’il faut dépoussiérer.

cColbert, en ligne jusqu’au 31 mars 2010 sur www.ccolbert.cn en Chine et sur www.ccolbert.fr dans le reste du monde.

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