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Kent, UK: Biking in Whitestable

Keeping its authenticity, Whitestable is a very chic seaside resort for Londoners. A big crush for the “very stylish” seaside to discover by bike, under a blue blue sky today: lucky me! I’ve always loved sheds and I want this one (picture below)!

Back to the Harbour hosts the main attractions of the Whitestable Oyster Festival, in a friendly ambiance. Between us, I really do not like oysters (lol!).

Lovely cottages with a fantastic sea view, most of them are Londoner’s properties. Maybe I will try some sailing, I love sailing. Okay,  let’s meet later, in my coming-up post for a bit of shopping in Whitestable…

Infos : Whitestable Cycle Hire, www.whitestablecyclehire.com et Visit Kent, www.visitkent.co.uk.  

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Kent, Angleterre: Whitestable à bicyclette

Whitestable est une petite station balnéaire chic et prisée des londoniens qui a su garder son authenticité. Un vrai coup de foudre pour son “very stylish” bord de mer à découvrir en vélo, sous un ciel bleu bleu, top! N’oubliez pas on roule à gauche! J’ai toujours eu un failble pour les cabanons et j’ai complétement craqué pour celui ci-dessous! Je veux le même!!! 

Retour vers le Harbour, où le Whitestable Oyster Festival (le Festival de l’huître de Whitestable) bat son plein. Ambiance conviviale et très laid back, même si j’aime pas (mais pas du tout) les huîtres (lol!).

Superbes petites maisons avec vue sur la mer, la plupart appartiennent à des londonniens. Je continue ma promenade à pieds, je tenterai bien un peu de voile. Ok on se retrouve après, dans un prochain post pour une séance shopping dans Whitestable…

Infos pratiques : pour la location de vélos, Whitestable Cycle Hire, www.whitestablecyclehire.com  et Visit Kent, www.visitkent.co.uk.

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Victoire magazine, Bruxelles: rencontre avec Anne Pochet

Parachutée sur Victoire

par les mystères de la recherche on line: une rubrique crée le déclic, « comme chez moi » (intérieurs d’artistes belges). Différent, ludique et pointu sans être raseur: j’ai tenu à rencontrer sa sémillante directrice de publication, Anne Pochet. Depuis trois ans et demi, Victoire – papier – est le supplément week-end sur les tendances (culture, life style et mode) du quotidien belge Le Soir.

– Ce n’est pas un féminin, on sort des étiquettes. Le premier défi  était que le magazine ne soit pas identifié sexuellement: 52% de nos lecteurs sont des hommes. C’est une vision subjective, avec une idée de proximité. On a évité tous les poncifs des magazines de mode. Faire parler de nous, pas par chauvinisme, mais plus pour savoir où se situe la Belgique dans les tendances mondiales. On a toujours eu beaucoup de reconnaissance à l’étranger, mais peu chez nous. On va regarder tranquillement le pays.

Et donc: où se situe la Belgique dans les tendances mondiales ?

– Excellente question! C’est très très difficile à dire, l’image est très mobile : beaucoup de gens ont des audaces. C’est un très subtil résautage : tout le monde connaît tout monde, un petit pays en surface, avec des petites étoiles filantes.

Diplômée en journalisme radio et presse écrite,

Anne travaille pour les magazines féminins, puis comme chef de production et responsable d’un projet de portail féminin chez Sanoma. Pendant dix ans, elle est aussi critique de livres jeunesse à la RTBF 1 et 2 :

– Un chouette job. J’étais une jeune mère. J’aimais ouvrir les parents à des univers moins coincés.

Elle se spécialise dans la philosophie sur l’éducation et présente une vision un peu moins « protocolaire et l’aspect pratique, sans aucun étendard militant » dans une émission mensuelle de radio. Sur la RTBF 1 et 2, en collaboration avec des spécialistes de l’One (offisme de l’enfance et des naissances), Anne anime « Air de Familles »: une émission capsule co-produite par l’ One, suivie par 200.000 foyers chaque semaine. S’ajoute Victoire, en tant que directrice de la publication, dont sa plus grosse difficulté a été de constituer l’équipe. Ses yeux pétillent:

– Tout fonctionne à l’humain, mais l’humain doit apporter du contenu. Je suis une bonne lanceuse, comme pour le choix des rubriques. Je délègue beaucoup, pas pour me débarrasser de certaines tâches, mais bien dans le sens de donner à ceux qui travaillent pour le magazine la certitude que leur responsabilité est totale et donc leurs compétences mises positivement à l’épreuve. Aujourd’hui j’ai plus de plaisir à gérer une équipe de journalistes. Le week-end je deviens la lectrice la plus acharnée de Victoire et je vais très souvent visiter les lieux dont parlent mes journalistes.

Victoire de demain ?

– Un monde entre le Victoire d’aujourd’hui et celui d’il y a trois ans : le changement s’est opéré en douceur, comme un glissement de plaques tectoniques. Depuis septembre 2009, nous avons de nouvelles rubriques « comme chez moi », « city strip », « petite semaine ». Ma crainte : être enfermée dans quelque chose qui marche. Ma volonté: toujours faire évoluer le support, mais uniquement avec du nouveau contenu, pas une évolution de surface. Le magazine Victoire doit être un bel objet, un petit univers en soi.

– J’ai la grande chance d’être née à Bruxelles

et pas dans un champ de maïs texan, c’est un vrai confort mental (rires). C’est une ville un peu complexée, un peu compliquée, plutôt agréable à vivre. Je suis heureuse d’y vivre actuellement.

Une adresse d’Anne :  

WIELS, « une ancienne brasserie dans un bâtiment splendide, pour ma gym culturelle : j’ai énormément de difficultés avec l’art contemporain. Ultra pointu ». Av. Van Volxemlaan 354, 1190 Bruxelles.  

Merci beaucoup Anne et longue vie au magazine Victoire! En kioske, dans Le Soir du week-end.

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