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Drive: The Amazing Movie!

Rewind : I’ve watched Drive for one month. Slash : it’s one of the best movies I’ve ever watched! Just BRILLIANT! I didn’t go to the cinema for ages. Well I watched the lastAlmodovar in September… Forward : Drive is WOW! A cult movie. Thanks to the neat Nicolas Winding Refn’s making of film, without the boring codes of bad action movies or (worst) motors races movies. The script makes sense and keeps on track till the end, the story starts slowly and is made being faster and faster with sudden braking and ellipses in time. We hang on to our hats,  the story gets carried away while the characters reveal themselves. We unravel the weft, we anticipate, we are surprised. The actors give a real performance. And Ryan Gosling is amazing! I didn’t know him before, just gossips in feminine magazines (shame on me!  lol). Watching Drive gives me back the enthousiastic feeling of discovering a great new director, one of Tarantino’s kind. Congratulations to Nicolas Winding Refn, thanks to you I want to watch films again. And thanks to B for taking me to the cinema.

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Drive

Rewind : il y a près d’un mois, j’ai vu Drive. Slash : je ne m’en remets toujours pas! Juste EXCELLENT! Ca faisait une éternité que je n’étais plus allée au cinéma. Humm suis quand même allée voir le dernier Almodovar en septembre… Forward : Drive est WOW! De la tessiture des films cultes. Une réalisation léchée de Nicolas Winding Refn, sans s’enliser dans l’esthétisme formel du mauvais film d’action, ou pire des fous du volant. Un script qui tient accroche la route jusqu’au bout avec une lente accelération et quelques coups de frein nets. Pas les navrants rafistolages abracadabrants d’un pool de scénaristes au désespoir de scotcher le spectateur (ça marche rarement). Des acteurs immenses de justesse, un rythme qui s’emballe, des ellipses de temps. On s’accroche à son siège, à l’intrigue qui s’étoffe, aux personnages qui se révèlent. On dénoue la trame, anticipe, s’étonne. Et l’acteur Ryan Gosling que je ne connaissais que de nom dans la presse féminine (shame on me!) est simplement géant! Avec Drive, j’ai ressenti le même enthousiasme de découvrir un “vrai bon” film que lorsque j’ai vu mon premier Tarantino (Reservoir Dogs). C’est dire! Bravo et merci à Nicolas Winding Refn de m’avoir redonner envie d’aller voir de “vrais bons” films. Et merci B d’avoir choisi le film.

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Park Hyatt Tokyo: Rencontre avec Philippe Roux-Dessarps

L’ascenseur s’arrête au 52ième étage,

où se situe le New York Bar : oui, l’élégant bar du fameux “Lost of Translation” de Sofia Coppola (photos 1 et 2).

Ambiance jazzy, hypontique et fascinant panorama d’un Tokyo infini vu du ciel, sensation irréelle. Pénombre réhaussée d’éclairages indirects. Souriante, une jolie serveuse me guide. 

J’ai rendez-vous avec Philippe Roux-Dessarps, le très actif directeur général du Park Haytt Tokyo qui occupe 14 étages de la Shinjiku Park Tower (dernière photo), conçue par l’incontournable Kenzo Tange, père de l’architecture moderne japonaise.

– Chaque jour, je demande à mon équipe: comment avez-vous surpris un client aujourd’hui?

Nous avons une clientèle variée (à 50% une clientèle de loisir) et beaucoup d’habitués qui recherchent une certaine atmosphère et apprécient le côté intime du lieu.

– A quoi attribuez-vous le fait qu’on s’y sent comme dans un cocon?
 
– L’humilité du personnel. Nous avons peu de chambres, 178 chambres, ce qui selon les standards asiatiques, en fait un hôtel intime. Nous n’avons pas une ambiance bureau. Le design intemporel aussi : le Park Hyatt Tokyo est un hôtel établi depuis 16 ans. John Morford a conçu tous les intérieurs, de manière à ce qu’on s’y sente comme dans un élégant chez soi.
 
– Objectif plutôt atteint non! Quel est votre prochain challenge?
 

 – Continuer de rester ouvert aussi aux nouvelles générations, rester moderne sans tomber dans du gadget!

Voici en images, mes espaces préférés :

Au 40ième étage, le restaurant Kozue pour sa  superbe vue sur Fuji San et sa délicieuse cuisine japonaise aux ingrédients de saison (photo 3). Coup de foudre pour les sublimissimes plats en céramique artisanale venus de tout le Japon : comble du raffinement “à la japonaise”, un pur plaisir!

Ambiance apaisante dans la bibliothèque aux 2000 volumes sur l’art, l’histoire, la culture et des dictionnaires. Où la lumière est un peu magique en fin d’après-midi, lorsque le soleil disparaît derrière Fuji San (photos ci-dessus & ci-dessous).

 

Dans les douillets couloirs

qui mènent au chambres, au spa et à la piscine, sur les murs, des reproductions de dessins de Fellini (photos ci-dessus et ci-dessous).
 

 

Au 47ième étage, la piscine de 20 mètres de long

Enfin une piscine d’hôtel où l’on peut vraiment nager…  en surplombant Tokyo, dans une douce lumière naturelle le matin : euphorisant! 

Au Spa, on reste des heures, entre les bassins d’eau chaude à remous et d’eau gelée, douches multi-jets, saunas et salles de massage, de relaxation, avec en arrière-plan la vue panoramique…

Chaque détail est soigneusement pensé : des excellents produits de soins australiens ASEOP, aux  rasoirs dans les douches, pour une petite retouche au pays de la perfection perfectible.

Informations 

www.park.hyatt.com

Un grand merci à Philippe Roux-Dessarps.

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