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La Krytonite nella borsa, d’Ivan Cotroneo

Grâce au Brussels Film Festival qui termine ce soir, j’ai renoué avec le cinéma italien, ou des films qui ont pour toile de fond l’Italie, comme To Rome With Love de Woody Allen. J’ai donc vu La Kryptnotite nella borsa d’Ivan Cotroneo, avec Valeria Golino. Je la trouve de plus en plus belle (vraie) comme actrice depuis Respiro. Le pitch : chaque famille a ses secrets, certains font plus rire que d’autres. J’ai aimé la légerté de la narration, où transpirent des moments graves, cette vision très latine de la vie, les ruptures de rythme puis une forme d’optimisme qui pointe à nouveau. L’accent méridional et la découverte d’un underground napolitain des années 70 (très cliché). Certaines images, comme le ballet de parapluie noirs lors de l’enterrement et le happy end discret, pudique. Un joli film qui s’adresse à tous ceux (je m’inclue) qui ont en marre de ce cinéma européen qui s’auto-mutile à coup de surenchère glauquissime et d’assommante auto-analyse! Vive la krypontite! Et j’oubliai la bande son avec l’adaption d’un de mes titres préférés : These Shoes Are Made For Walkin’ (je préfère la version de Tigerman).

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11th Biennale de Lyon: A Terrible Beauty is Born / La Sucrière

Last September, I attended the opening of the 11è Biennale de Lyon, “A Terrible Beauty is Born“. My first biennale of contemporary art, with a hot sunny day. First stop : La Sucrière, an old industrial building, located in a riverbank, with several exhibitions at different levels. Better than a long speech : here works of art I liked. Pictures 1 & 6 : Arthur Bispo Do Rosario, Semblantes. Picture 2 : Robbie Cornelissen, Het Grote Geheugen X / the Capacious Memory, 2011. Picture 3 : Julien Discrit, The Day Trip Project, 2011.  Pictures 4 & 5 : Robert Filliou, recherche sur l’Origine, 1974. Picture 7 : Thierry Raspail, the director of the 11th Biennale de Lyon, in front of two art works of Ernesto Ballesteros.

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11è Biennale de Lyon : Une terrible beauté est née / La Sucrière

En septembre dernier, j’ai assisté au vernissage de la 11è Biennale de Lyon, “Une terrible beauté est née“. Ma première biennale d’art contemporain, sous une chaleur estivale. Première étape : La Sucrière, un lieu d’exposition sur plusieurs étages, dans d’anciens entrepôts. Mieux qu’un long discours : voici des oeuvres qui m’ont interpellées. Photos 1 et 6 : Arthur Bispo Do Rosario, Semblantes (tissus, fil, plastique et métal). Photo 2 : Robbie Cornelissen, Het Grote Geheugen X / the Capacious Memory, 2011 (mine de plomb). Photo 3 : Julien Discrit, The Day Trip Project, 2011 (film).  Photos 4 et 5 : Robert Filliou, recherche sur l’Origine, 1974 (pastel gras sur toile, bois)   Photo 7 : Thierry Raspail, le directeur de la11è Biennale de Lyon, devant deux oeuvres d’Ernesto Ballesteros.

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